INFORMATIONS IMPORTANTES

De nouvelles informations sur la gratification des stages est disponible sur le site de l'UFR.
Pour en avoir discuté hier avec une étudiante de M2, la personne qui s'occupe, à l'administration centrale, de signer nos conventions pour l'université, part en fin d'année. Tous nos « acquis », qui ne sont jamais que des aménagements et contournements du décret d'application, risquent d'être remis en question, sans doute pas en notre faveur. Attendre l'année prochaine de voir comment cela se passe, alors que d'année en année, la situation se complexifie, paraît juste. Il serait bon d'obtenir des informations plus solides, voire de penser à se montrer plus actifs.
C'est quand même notre diplôme qui se joue-là. Pour nous, directement, mais aussi pour les générations d'étudiants qui vont suivre.

Ensuite, autre problème : le passage du M1 en M2 qui demeure encore un mystère dans ses modalités pour les étudiants actuels de M1. Certes, on sait maintenant qu'il faut 12 de moyenne générale et 14 au mémoire pour être admis à postuler en M2 pro. Mais que faire quand on n'a pas été « assez bon » pour remplir les conditions requises de passage ni « assez mauvais » pour obtenir une seconde chance, soit aux rattrapages, soit en pouvant redoubler un M1 ? Prévaut le bon vieux principe universitaire qui veut que « ce qui est acquis est acquis », avec beaucoup de risque de déchets sur le chemin, et même pas celui des étudiants les moins méritants — car pourquoi refuser un passage ou un doublement à quelqu'un entre 10 et 12 et l'accorder à celui qui est ajourné ?
La promotion de M1 de cette année est une promotion test, dont on ne sait ce que le test va donner. Et pareil : attendre l'année prochaine, de constater les dégâts, sera sans doute trop tard.

[…]

Voilà…
Si l'information pouvait circuler, notamment au sein d'autres groupes de retranscription, faire un peu réfléchir et pas que dans six mois, ce serait bien. C'est de nous qu'il s'agit.
Bon dimanche.

Sugarsheep a écrit:Il faut demander un rendez-vous au ministère, la situation est vraiment dramatique. Là on le ressent pas tout de suite, car on est tous plongés dans nos stages, mémoires, notes cliniques, partiels etc... Mais au mois de septembre, ça va être la crise. Pourquoi ne pas s'unir avec la personne chargée des stages à Paris 7, avant qu'elle parte, et réfléchir avec elle sur la manière d'agir à un niveau supérieur ? Car il y a beaucoup d'agitations, spéculations et d'indignations autour de ce thème-là, mais personne n'agit vraiment...

Sugarsheep a écrit:Pourquoi ne pas s'unir avec la personne chargée des stages à Paris 7, avant qu'elle parte, et réfléchir avec elle sur la manière d'agir à un niveau supérieur ?