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17 Mars à Montreuil.

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Message  Nath Mer 14 Mar - 10:24

Meeting du 17 Mars 2012

Quelle hospitalité pour la Folie pour

2012 ?

9h 15 - Ouverture : Stéphane Gatti – La Parole Errante

Emile Lumbroso, Psychologue clinicien

Antoine Machto Psychologue clinicien

Elie Winter, Psychiatre

- Table ronde « Le Sécuritaire » -

Enfants, adolescents, adultes en difficultés psychiques sont-ils les nouveaux symptômes de la folie sécuritaire ? Prévenir, éduquer, soigner, protéger, sont ils des concepts dépassés dans une société où un certain discours politique revendique le contrôle, la surveillance et la contrainte comme principes de gouvernement.

Animé par Hervé Bokobza, Psychiatre

Lysia Edelstein, Psychologue -Protection Judiciaire de la Jeunesse

Sylvianne Gianpino , Psychologue – Psychanalyste -Présidente du Collectif « Pas de zéro de conduite »

Serge Klopp, Cadre infirmier

Serge Portelli, Magistrat – vice-Président du Tribunal de Paris

Pierre Sadoul, Psychiatre
Pierre Joxe, Avocat, ancien ministre de l’Intérieur, de la Défense, ancien membre du Conseil Constitutionnel.

- Table ronde« Le Scientisme » -
L'Homme Machine ?

La politique de santé mentale actuelle tente de faire de la maladie psychique un déficit d'adaptation à la société, un handicap qu'il suffirait de compenser par un meilleur réglage de la "machine cerveau".Le rêve scientiste de la réduction du sujet à un organe trouve de nouveaux adeptes qui nous présentent leurs "découvertes" comme des avancées décisives de la recherche scientifique.
Quelle type de société, quelle conception de l'humain sous tendent un tel projet ?

Animé par Philippe Bichon, Psychiatre

Jacqueline Berger, Journaliste

Loriane Brunessaux, Psychiatre

André Coret, Physicien

Guy Dana, Psychiatre -

François Gonon, Neurobiologiste – Directeur de recherche CNRS Bordeaux 2

1 - Table ronde La Norme -
Les protocoles, les certifications, les évaluations ne nous laissent plus de répit. Ils sont censés protéger "l'usager" et guider les professionnels dans leurs actes vers le risque zéro, zéro pensée, zéro créativité, zéro liberté.
Uniformité, homogénéité, traçabilité, tel est le programme que nous impose la Haute autorité sachante qui vient de se signaler par des prises de position qui ne cachent plus leur hostilité déclarée à une psychiatrie ouverte sur l'inestimable de la relation humaine"
Restera-t-il alors encore un peu d'humain dans l'homme pour écouter l'inattendu

Animé par Patrick Chemla, Psychiatre

Mathieu Bellahssen, Psychiatre

Marie Cathelineau, Psychologue clinicienne

Hélène Davtian, Psychologue clinicienne, auteur de « Frères et sœurs face aux troubles psychotiques »

Pierre Dardot, Philosophe

Pierre Delion Professeur de Pédopsychiatrie

Fred, Mathieu, Association Humapsy.

Conclusions :

Mathieu Bellahssen, Guy Dana, Hervé Bokobza

Dominique Voynet , Maire de Montreuil, fera une intervention d’accueil.

Des représentants des candidats à l’élection présidentielle nous ont donné leur accord pour participer au meeting et prendre position par rapport à notre Manifeste.

Interviendront au cours de la journée :

Hélène Franco, en charge des questions de libertés pour le Front de Gauche et Jean Luc Gibelin, en charge des questions de santé pour le front de Gauche pour Jean Luc Mélenchon,

Jean Claude Laumonier du NPA pour Philippe Poutou,

une représentante d’Europe Ecologie Les Verts, et Aline Archambaud sénatrice pour Eva Joly.

Mr Razzi Hammadi secrétaire national du P.S., et un membre chargé des questions de santé auprès de François Hollande

De nombreux messages, de courtes interventions supplémentaires seront exprimées tout au long de la journée.


COMMUNIQUE :

La Haute Autorité est tombée bien bas !

Une nouvelle tartufferie.

Le collectif des 39 prend acte des dernières décisions de la Haute Autorité de Santé (HAS) concernant l’autisme, et qui interdit de fait le packing « sans exception », sauf dans le service du Pr Delion où une recherche est en cours depuis deux ans à la demande du ministère de la Santé… Ainsi une décision est prise sans attendre les résultats de ce travail important qui sous la pression de lobbies dictant leur conception de la maladie, imposent de se détourner du soin. Nous soutenons avec force notre collègue Pierre Delion, pris au milieu de cette tourmente, et de cette double contrainte : mener une recherche sur une pratique désavouée par la HAS !

Mais comme nous le pressentions, cette affaire est loin de se limiter à l’autisme, bien loin de s’appuyer seulement sur le lobby de certaines associations de parents, se plaignant d’un manque d’accueil de certains praticiens, de certains dogmatismes.

Le scandale de l’insuffisance de moyens, de lieux d’accueil et de prises en charge intensive n’est absolument pas pris en compte.

Dès l’annonce de la décision, le président de la HAS a affirmé qu’il s’agissait d’en finir avec une psychiatrie adossée à la psychanalyse et qui serait incapable de faire ses preuves.

Le propos, s’il a le mérite de la clarté, se présente comme une véritable déclaration de guerre contre la psychiatrie relationnelle. Il bascule même dans un négationnisme, occultant les plus de soixante années de travaux, de recherche, de résultats thérapeutiques que nous devons à Françoise Dolto, Maud Mannoni, Tony Lainé et Roger Misés pour ne citer que les plus illustres praticiens français reconnus dans le monde entier.

Le président de la H.A.S. qui avait aussi masqué ses conflits d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, vient rejeter la psychiatrie que nous pratiquons, ouverte sur l’altérité, ouverte sur tous les autres champs du savoir, dans sa prise en compte du transfert, de l’inconscient et le du désir humain.

Si nous avons à rappeler après la mise en place de la loi indigne du 5 juillet 2011 que les patients ne sont pas des criminels potentiels, bons à enfermer ou à traiter de force à domicile, nous sommes aujourd’hui confrontés à l’extrême violence d’une volonté d’éradication de la psychanalyse et de la psychothérapie institutionnelle, d’une psychiatrie où la dimension relationnelle est au cœur de tout processus de soins, où la dimension psychopathologique n’est pas déniée ou rejetée.

Aujourd’hui le packing, et demain l’interdiction de tout ce qui tisse la vie quotidienne et relationnelle dans les institutions: les médiations qui s’appuient sur les activités thérapeutiques, les repas pris en commun, les ateliers d’expression et de création etc.

Tout ce qui ne peut être « évalué » dans l’immédiateté, dans la « preuve » par des chiffres, des statistiques, et qui se trouve en rapport avec l’inestimable du désir humain, se trouve ainsi invalidé explicitement par la HAS !

Nous nous trouvons sous le coup d’un « interdit professionnel » et d’une « police de la pensée » où il s’agirait de bannir tout un pan du savoir humain. Cet interdit s’applique de facto aux familles et aux patients qui seraient demandeurs d’une thérapie autre que celles recommandées par cette instance.

Ne nous y trompons pas, ce diktat tente de discréditer une conception de l’humain qui considère que tout homme ne peut en aucun cas se réduire à être un tas de molécules ou un objet à adapter ou à rééduquer.

Les recommandations, les accréditations, les protocoles et certifications nous imposent un carcan étouffant toute initiative soignante, l’envahissement d’une bureaucratie abêtissante, la mise en place d’un système à même de nous empêcher de soigner.

Ainsi après les ridicules recommandations de bonnes pratiques sur les TOC et la dépression, où tout référence psychopathologique est soigneusement évitée, L’HAS démontre à nouveau sa partialité, son incompétence, son pouvoir de nuisance.


Un pas supplémentaire vient d’être franchi :

La HAS et son président se discréditent complètement

En posant ces actes la HAS se révèle au grand jour comme l’instrument d’une idéologie implacablement réductionniste, dégradante et régressive.

C’est pour ces raisons que nous demandons aux candidats à l’élection présidentielle de se prononcer (entre autres) sur :

L’arrêt immédiat de tous les processus d’accréditation et de certification, des recommandations de “bonne pratique “ et “des conférences de consensus”, validés dirigés et imposés par l’HAS, dont l’objectif d’une mise en normes des pratiques, protocolisées et homogènes, est anti thérapeutique, destructeur des soins et constitue un obstacle majeur à des soins psychiques de qualité.

Aussi le meeting du samedi 17 Mars revêt-il une importance cruciale au cœur de cette campagne électorale. Les soignants, les familles et patients qui sont au programme, avec des scientifiques et des philosophes, vont expliquer les raisons de leur refus d'une instrumentalisation de la science. Nous réaffirmerons notre mot d’ordre d’arrêt de toute cette folie évaluatrice et normative.

Le collectif des 39 contre la nuit sécuritaire

www.collectifpsychiatrie.fr

Meeting du collectif des 39, le samedi 17 mars 2012 de 9h à 18h

"La Parole Errante à la Maison de l'Arbre", 9 rue François Debergue

93100 - Montreuil-sous-Bois, Metro Croix de Chavaux (ligne 9)

HAS et psychiatrie : « une ingérence inacceptable » (Front de Gauche)

Le Front de Gauche santé dénonce la campagne actuelle de la Haute autorité de santé visant à interdire telle ou telle pratique thérapeutique dans le traitement par les équipes de pédopsychiatrie, des troubles autistiques.

Cette campagne manie l’amalgame entre outrances de certains acteurs et les différentes techniques partie prenante du corpus scientifique et pratiquées par de nombreux professionnels.

Elle s’appuie également sur un désarroi réel de nombreuses familles qui ont le sentiment d’être abandonnées par la psychiatrie qui ne répond pas toujours à leurs besoins.

Tout d'abord, le fonctionnement de la Haute autorité nous interroge. La désignation de ses dirigeants n'est pas le gage de la transparence ni de l'indépendance vis à vis du monde pharmaceutique. Nous considérons qu'un contrôle par les pairs associé aux usagers est à construire.

Le FdG rappelle, comme pour toute discipline médicale, son attachement au principe qui veut d’une part que toute équipe de soins ait le droit de se référer au cadre thérapeutique de son choix, et d’autre part, que le patient puisse avoir le choix de son praticien.

Cette ingérence totalitaire est inadmissible dans le champ de la médecine.

Le FdG estime que derrière cette attaque s'en cache une autre plus fondamentale contre une certaine conception de la psychiatrie qui considère que ce qui soigne c’est avant tout le relationnel. Or, les

tenants de cette campagne prônent un traitement des troubles psychiques centré essentiellement sur la normalisation des comportements de ces sujets par un traitement chimiothérapique associé à des méthodes éducatives. A ce sujet, les conflits d'intérêt de responsables de ces campagne avec l'industrie pharmaceutique doivent être mis en lumière.

Pourtant l’immense majorité des personnes en souffrance psychique et leur entourage attendent avant tout un accompagnement relationnel et non une prise en charge normative centrée sur le symptôme.

Le FdG entend poursuivre son action pour engager une rénovation de la psychiatrie, pour une psychiatrie humaniste centrée sur le soin relationnel qui n’abandonne pas les patients par faute de moyens.

Le Front de Gauche Santé,

Paris, le 11 mars 2012.



***

Après l'interdit politique, l'interdit administratif

Au nom de l'autisme nous voici confrontés à une mise en scène médiatique.A une proposition de loi visant à interdire la psychanalyse succède une décision de la HAS d'interdire le "paking" délogeant ainsi les médecins de leur responsabilité de soignants, responsabilité basée sur l'éthique et l'indépendance professionnelle qui permettent la confiance des soignés

Le SNPP a considéré avec attention les recommandations de bonne pratique de la HAS concernant l’autisme (et autres troubles envahissants du développement). Il ne peut qu’approuver que soit soulignée « la nécessité d’une évaluation régulière, multidimensionnelle et pluri-professionnelle » pour assurer le soin à ces enfants malades et les faire progresser. Dans ces recommandations, la HAS souligne à juste titre que toute prétention à guérir l’autisme ne peut être qu’une tromperie en l’état actuel de nos connaissances.

Il est alors tout à fait incompréhensible que dans un texte joint à ces recommandations (Autisme : Questions-Réponses) la HAS stigmatise l’approche psychanalytique alors que de nombreux soignants reconnus professionnellement ont une formation psychanalytique et qu’ils s’intègrent aux équipes qui prennent en charge les enfants autistes. Une telle condamnation peut avoir de graves conséquences sur le travail de ces soignants. De plus, prétendre que l’approche neuro-comportementale est la seule valide, contrevient évidemment à la volonté apparente de la HAS d’avoir une approche pluridisciplinaire.

Au nom de quoi la HAS s’autorise-t-elle à affirmer que l’autisme n’est pas aussi un trouble psychique, spécifique de l’humain ?

Quant à l’oukase concernant le packing, la HAS reprend in extenso l’argumentation outrancière d’une association de parents d’enfants autistes. Le SNPP soutient le Professeur Delion dans ses recherches et sa pratique pour le plus grand bien des enfants qu’il soigne. Il est indécent de la part de la HAS de lui donner ainsi des leçons d’éthique en accordant du crédit à des informations fausses. Cette condamnation n’a d’ailleurs aucun sens puisque la demande du Professeur Delion est de poursuivre dans la sérénité ses recherches sur le packing dont les résultats à ce jour sont encourageants. Comme il s’agit de recherche médicale, celle-ci est forcément menée conformément à la loi, comme le veut la HAS. Alors, où est le problème ?

De fait ne serait-ce pas tout autant la souffrance des parents qu’il faudrait reconnaître et secourir ? Mais trop d’enfants autistes et leur famille sont abandonnés et livrés à leurs propres ressources. La priorité est donc bien d’augmenter les capacités de prise en charge par les équipes spécialisées et dont la compétence est d’ores et déjà reconnue.

Mettre en question l’éthique et l’engagement auprès des patients de professionnels au motif qu’ils s’appuient sur des méthodes ne convenant pas à certains groupes de pression interroge l’indépendance de la Haute Autorité de Santé.

***

Le NPA

Psychanalyse et psychothérapie institutionnelle : non aux interdictions professionnelles.

Pour le maintien de pratiques humanistes et diverses auprès des enfants autistes.et de toute personne en souffrance

La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de rendre son verdict. Elle préconise , dans la prise en charge des enfants et adolescents qu’on nome « autistes », le recours exclusif à l’action éducative et aux thérapies comportementales et rejette les « interventions fondées sur les approches psychanalytiques et la psychothérapie institutionnelle".

Le NPA dénonce cette décision d’une extrême gravité, qui instaure un véritable interdit professionnel pour des équipes soignantes et éducatives, qui demain s’étendra à tous les soins psychiques et à l’enseignement universitaire.

Derrière ce que l’on veut présenter comme un débat d’écoles, c’est un nouveau pas dans la volonté de standardiser les soins psychiques, en réduisant ceux-ci à une normalisation des comportements de la personne souffrante. Elles s’inscrivent dans les choix politiques imposés par le pouvoir à la santé mentale, entre politique gestionnaire , définissant un coût standard pour tout soin et politique sécuritaire cherchant à maitriser ou enfermer toute forme de déviance.

Le NPA est au coté de tous ceux (patients, familles, professionnels) qui s’opposent à cette atteinte à toute forme de créativité soignante. Il exige le maintien de principes humanistes, et la diversité des approches, en lien avec la famille et l’entourage, loin de prétendues « bonnes pratiques » avant tout dictées par des motifs peu avouables de réduction des coûts et de normalisation sociale.

***

La France va mal! Le malaise est grand !

Regardons, en effet du côté du Parlement. Quand il n'est pas, comme c'est maintenant souvent le cas, réduit à un rôle de chambre d'enregistrement, il devient faiseur de règlements et même lieu de règlement de comptes pour certains.

La réflexion est lentement bannie des assemblées tant la pression gouvernementale sur le Parlement est devenue forte, le travail des commissions étant même mis sous la coupe réglée des ministres comme ce fut le cas lors de l'examen en commission sénatoriale de la loi sur les soins sans consentement en psychiatrie. Ce qui ne provoqua pas moins que la démission de la présidente de la commission !



A d'autres moments, les débats sont tellement squeezés que le texte voté n'est plus qu'une coquille prête à recevoir les textes réglementaires (décrets, arrêtés ou circulaire) rédigés par les cabinets ministériels sans avoir été soumis au débat démocratique.

Last but not least, un député propose, en ce début d'année, de légiférer sur les méthodes utilisables ou non dans la prise en charge des autistes.

Le malaise est si grand que le Parlement est ici appelé à, littéralement, marcher sur la tête. 


En effet, la confusion induite est telle que le législateur est convoqué à dire au professionnel quel est l'outil qu'il doit utiliser. A quand une loi sur la taille des aiguilles d'injection ou sur le diamètre des comprimés pharmaceutiques ?

S'il devait s'opérer, ce glissement séméiotique de la loi à la norme serait gravissime car il signerait un glissement de notre société de la liberté à la coercition. Sous couvert de protection des enfants autistes certains voudraient ainsi interdire les concepts de la psychanalyse ou certains soins comme le "packing" dont de nombreux psychologues peuvent témoigner de l'utilité, dans certaines pathologies et pour des patients souffrant de morcellement psychique.



Mesdames et messieurs les parlementaires, ne vous laissez pas abuser par cette demande d'édiction de normes censées, pour leurs auteurs, calmer les angoisses induites par le malaise dans la civilisation dont nous souffrons ! Ne vous laissez pas aller au règlement de comptes contre les psychanalystes accusés de tous les maux par les tenants d'un soin cantonné au symptôme et à la résorption du handicap psychique et à sa prise en compte sans souci du sujet.

Votre mission est autrement plus noble : elle est de faire la loi et non des règles qui relèvent en l'occurrence des professionnels et de leurs déontologies. Vous n'êtes, d'ailleurs, pas sans savoir qu'au sujet de la déontologie des psychologues nous souhaitons une loi donnant à notre profession une instance collégiale responsable de la déontologie et de l'exercice.

Syndicat National des Psychologues SNP - 09/03/2012




Nath
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